eFutura rejoint la Commission Intelligence artificielle de l'Afnor 

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    Une proposition de règlement de l'IA a été adoptée par la Commission européenne en 2021 (Geralt)
  • L'association aidera la Commission IA de l'Afnor à encadrer légalement l'intelligence artificielle et certifier "une IA digne de confiance".

    Bien connue des acteurs de la gestion de contenus, l'association eFutura aidera la Commission IA de l'Afnor pour encadrer légalement l'intelligence artificielle et certifier une IA digne de confiance. L'association, qui regroupe de nombreuses entreprises évoluant dans le secteur de la transition numérique, est engagée au sein de la Commission IA de l'Afnor pour contribuer à la démarche de normalisation.

    L'Afnor est vu confier par le gouvernement français le pilotage de la normalisation de l'AI Act, premier système de certification de l'intelligence artificielle émanant de la législation européenne dans une démarche visant à certifier une "IA digne de confiance". L'AI Act a pour objectif de mettre en place des règles uniformes pour les 27 pays membres de l'Union Européenne.

    Interdiction des IA présentant "un risque inacceptable"

    Le 21 avril 2021, la Commission Européenne avait présenté une proposition de règlement sur l'intelligence artificielle (IA Act). Ce règlement a notamment vocation à séparer le bon grain de l'ivraie. Certains types d'IA présentant "un risque inacceptable" (Article 5) sont ainsi prohibés par principe : utilisation des techniques de manipulation subliminale des personnes, exploitation des vulnérabilités de groupes sensibles, création de systèmes de notation généralisée des populations, identification biométrique à distance en temps réel dans des espaces accessibles au public à des fins de maintien de l'ordre.

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.