CORE franchit le cap des 5 millions de documents en texte intégral indexés et en libre accès

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    En plus d'un accès gratuit à son moteur de recherche, CORE offre également toutes les données gratuitement via une API et un dataset. (opensourceway via Visualhunt.com / CC BY-SA)
  • Entre 2015 et 2016, la base de CORE est passée d'environ 3 millions de documents en texte intégral indexés à plus de 5 millions.

    Le cap des 5 millions de documents en texte intégral indexés dans la base de CORE (COnnecting REpositories) est désormais atteint, ce qui fait de lui le plus grand agrégateur de documents de recherche en texte intégral et en libre accès du monde. 

    Plus d'une centaine de pays producteurs

    Accessible depuis son moteur de recherche, sa collection compte également 66 millions d'enregistrements de métadonnées. Et ce sont plus de 2 000 documents institutionnel et thématiques qui y sont archivées. L'ensemble de ces documents est issus de 102 pays, dans 52 langues différentes.

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    Depuis son lancement en 2011, CORE vise à recenser et faciliter l'accès du public aux résultats de recherche et aux articles scientifiques, issus de dépôts institutionnels et disciplinaires, ainsi que de documents de recherche, de littérature grise, de mémoires et de thèses d'étudiants. Son objectif : "faciliter l'accès illimité gratuit à la recherche pour tous". 

    Récolte accélérée

    "L'année dernière, nous avons réussi à accélérer notre processus de récolte, explique le fondateur de CORE, Petr Knoth, sur le blog du portail ; cela nous a permis d'augmenter significativement la quantité de contenus en libre accès que nous pouvons offrir à nos utilisateurs. De plus en plus de contenus en libre accès étant mis à disposition par les fournisseurs de données, grâce à de récentes politiques d'accès ouvert, CORE peut désormais capturer et donner accès à un pourcentage plus élevé de la littérature scientifique mondiale".

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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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