Le site Geopatronyme change de nom et d'adresse

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    1 329 359 patronymes rencensés par l'Insee (Filae)
  • Le site consacré à la répartition des noms de familles sur le territoire français est désormais accessible via une URL gérée par la société généalogique Filae.

    C'est le site de référence pour les internautes qui veulent tout connaître des noms de famille en France. Geopatronyme, qui propose une base de données de 1 329 359 patronymes, est désormais accessible via l'URL de la société Filae spécialisée dans les services généalogiques. Filae appartient elle-même au groupe MyHeritage. 

    Élaboré à partir du fichier Insee des communes de naissances, le site permet d'accéder à des nombreuses informations relatives aux noms de famille. Il suffit d'entrer un patronyme dans le moteur de recherche pour connaître sa répartition sur le territoire français grâce à des cartes dynamiques.

    Ventilation par densité départementale

    La fiche relative au patronyme LAURENT, par exemple, permet d'apprendre que ce nom de famille "est dérivé du nom latin aurus qui signifie laurier ou couronne en laurier. Ce nom devait être, a l'origine, un surnom donné aux membres de sociétés athlétiques". LAURENT apparaît au dixième rang des patronymes les plus portés en France. Une ventilation par période chronologique (1891-1915, 1916-1940, 1941-1965 et 1966-1990) et par densité départementale renseigne encore plus précisément sur l'évolution du patronyme.

    Selon Filae, les cinq patronymes les plus répandus en France sont MARTIN (228 857 personnes portent ce nom de famille), BERNARD (120 57), THOMAS     (108 141), PETIT (105 463) et ROBERT (102 950). Parmi les patronymes les moins portés figurent PUTTERMILEC, RAUSCHENBUSCH, REHATAKA MAHARAMBY, PAUPEL, MAINA-BLANC...

    Un peu plus répandu, le patronyme LE CON a été porté par 57 personnes depuis 1890.

     

     

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    Commentaires (1)

    • Portrait de Sergi

      l'URL renvoi vers une page inexistante pourra-t-on retrouver l'équivalent de geopatronyme.com ???

      avr 24, 2024
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    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.

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