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nouveaux bibliothécaires, bons pour le service !

La BPI s’est dotée très tôt d’une palette de méthodes pour mesurer son activité et appréhender les profils, les usages et les attentes de ses publics. BT/Archimag

 

C’est une tendance avérée et revendiquée, les bibliothécaires voient de plus en plus s’ajouter à leurs prérogatives une activité de service auprès des usagers. Mais que motive cette évolution ? Sur quels biais, quels modèles, quels outils s’appuie-t-elle ? Et quelles formes ces fameux services adoptent-ils ? Pour ces nouveaux bibliothécaires, qui ne sont pas tout à fait confrontés aux mêmes problématiques selon qu’ils évoluent en lecture publique ou universitaire, se pose également la question des compétences requises.

À  la bibliothèque Fiolstræde de Copenhague, aux côtés des rayonnages de partitions musicales, trône, les bras tendus, un véritable mini studio d’enregistrement : guitares électriques, basses, claviers, percussions, amplis, casques et consoles. Extrêmement répandue dans les pays scandinaves, la possibilité de s’exprimer et de prolonger en terme d’usages l’offre documentaire constitue une tendance de fond dans le monde des bibliothèques. À Londres, depuis près de dix ans, les « idea stores » vont encore plus loin et proposent en libre-service et sept jours sur sept des prestations allant de la garderie au soutien scolaire, en passant par la formation continue, les...

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La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.