Publicité

Le pôle de compétitivité Cap Digital élit un nouveau bureau mais garde son président

  • Stéphane Distinguin conserve la présidence de Cap Digital en 2016 (illustration Visual Hunt).jpg

    Stéphane Distinguin conserve la présidence de Cap Digital en 2016 (illustration Visual Hunt)
    Stéphane Distinguin conserve la présidence de Cap Digital en 2016 (illustration Visual Hunt)
  • Ils étaient 37 candidats, il reste 28 élus.

    Après avoir examiné le bilan 2015, l'assemblée générale de Cap Digital tenue le 2 mai a élu les 28 membres du nouveau conseil d'administration. Ils ont ensuite eux-mêmes réélu Stéphane Distinguin à leur tête, président du cabinet d'étude Fabernovel.

    Ces 28 sont des représentants de personnes morales impliquées dans la transition numérique francilienne : entreprises privées, associations, centres de recherche, collectivités territoriales et exécutif.

    « Soutenir l'innovation collaborative »

    Stéphane Distinguin conserve la présidence de Cap Digital en 2016 (Fabernovel)

    Ils sont élus pour deux ans. Leur mission, selon un communiqué émis par Cap Digital le 17 mai, est de « stimuler les liens entre les acteurs du numérique, soutenir la R&D, l’innovation collaborative, contribuer à la croissance des entreprises du numérique ». Ce groupe organise par exemple le salon Futur-en-Seine dédié à l'innovation et au numérique, qui aura lieu cette année du 9 au 19 juin 2016.

    Pour la première fois, Cap Digital avait mis en place un système de vote en ligne à destination des membres qui ne souhaitaient pas se déplacer le jour de l'assemblée générale.

    Cap Digital annonce réunir et représenter 1000 structures dont 850 PME, 81 écoles et 13 investisseurs en capital.

    À lire sur Archimag
    Les podcasts d'Archimag
    La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.
    Publicité

    2025-Catalogue Dématérialisation-Serda Formation