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Au sommaire :
- Dossier : Comment faire vivre ses bases de connaissance ?
- « Une base de connaissance est indispensable à toute gestion de projet »
- Déployer sa base de connaissance
- Méthode pour une base de connaissance vivante
- Légipédia, base de connaissance de service juridique
- De la base à la communauté de connaissances
- Quand les bases de connaissance alimentent les chatbots
Le premier chatbot a vu le jour en 1966. Baptisé Eliza, ce prototype n’était pas bien bavard ! Il n’était capable de répondre qu’à quelques questions basiques du type : « Bonjour, pourquoi venez-vous me voir ? » Un demi-siècle plus tard, les agents conversationnels (ou dialogueurs) ont fait bien des progrès !
Ils sont aujourd’hui capables de répondre à des questions très concrètes posées par les clients d’un site de e-commerce. Ils peuvent aussi apporter un premier niveau d’assistance à des visiteurs qui veulent connaître les horaires d’ouverture d’un musée ou le nom des œuvres qui y sont exposées.
Lire aussi : Des chatbots no-code pour automatiser vos processus
Pour répondre à toutes ces questions, les chatbots puisent leurs réponses dans des bases de connaissance. Celles-ci fonctionnent avec des outils faciles à prendre en main : « nous avons développé des bases de connaissance parce que les supports clients font face à beaucoup de questions similaires qui pourraient être résolues en autonomie par les clients », explique Baptiste Jamin, cofondateur et PDG de Crisp. « Les contenus mis à disposition dans les bases de connaissance peuvent être directement créés dans notre interface. Ces bases de connaissance sont connectées à notre outil de chat qui apporte des réponses aux usagers. »
