A l’Institut national de santé publique du Québec, les professionnels de l’information travaillent de concert avec les scientifiques pour évaluer la pertinence du dispositif de veille.
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Sommaire du dossier :
- Veille : évaluez, redéployez
- Pierre-Yves Debliquy : "Attention au manque de synchronisation entre veilleurs et clients finaux"
- Évaluer sa veille : quelles fonctionnalités dans les logiciels ?
- Comment l'équipe de veilleurs du Cetim s’adapte au contexte Covid
- Comment évaluer une veille en collaboration avec les scientifiques ?
La question de l’évaluation d’un dispositif de veille se pose également outre-Atlantique. Au Canada, l’Institut national de santé publique du Québec (INSPQ) a décidé de procéder à la révision de ses activités en matière de veille scientifique.
Cette décision a été prise à la suite de la grippe A (H1N1) qui s’était répandue dans le monde entre 2009 et 2010. Objectif : améliorer la collecte d’informations sur la pandémie.
Lire aussi : Quels outils choisir pour mener une veille collaborative ?
Évaluation des veilles et des produits de veille
« Deux types d’évaluations sont couramment effectués à l’Institut : un qui s’applique à toutes les veilles, et un qui concerne les produits de veille », expliquent Julien Chevrier et Mahée Lacourse dans un retour d’expérience particulièrement bien documenté (La veille à l’INSPQ : une coco....
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Une veille est installée, elle est en accord avec la stratégie et les besoins exprimés pour les projets en cours. Mais elle peut s’essouffler (baisse des remontées d’informations, baisse d’efficacité pour les usagers…) ou être confrontée à un nouvel événement qui la remet en question. Il est donc temps de faire un bilan pour l’évaluer et définir comment la redéployer.
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