Temps de lecture : 4 minutes
Découvrez le Push du Veilleur, la newsletter thématique gratuite d'Archimag pour les veilleurs et les documentalistes !
Sommaire du dossier :
- Droit d’auteur : quelles obligations pour les veilleurs, documentalistes, community managers et iconographes ?
- Veille et droit d'auteur : des livrables selon les règles
- Droit d'auteur et documentation : "beaucoup d'idées reçues circulent chez les documentalistes"
- Community management et e-réputation : le droit d'auteur dans l'ADN
- Iconographie et respect du droit : l'auteur et les ayants droit
- Quelles sont les missions du CFC et comment se préparer à un contrôle ? Nos conseils aux veilleurs et documentalistes
Caroline Travers est documentaliste juridique au sein du cabinet Mayer Brown. La veille représente environ 60 % de ses missions et porte sur des thématiques économiques et financières, mais aussi sectorielles et juridiques.
Ses sources d’information sont multiples : des sites institutionnels, la presse généraliste (Les Échos, Le Figaro ou La Tribune), la presse spécialisée (ainsi que des sites web), l’agrégateur de presse Europresse qui permet de créer des dossiers de veille et de crawler du contenu grâce à des mots-clés et des sources intégrées à la plateforme.
« Le veilleur doit prendre connaissance de la valeur de l’information qu’il gère », explique-t-elle ; « ce n’est pas parce qu’un article est gratuit ou en accès libre qu’il est pour autant libre de droits. Il demeure une œuvre de l’esprit, protégé par le droit d’auteur et nécessite donc une autorisation pour être reproduit et diffusé. Je pense qu’il est important de retenir cela, dans ce métier ».
Lire aussi : Faire sa veille web dans le respect du droit d’auteur
Veille et droit d'auteur : les règles fondamentales
À ses yeux, les professionnels de la veille doivent garder à l’esprit quelques règles fondamentales :
