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Sommaire du dossier sur la gouvernance de l'information :
- Gouvernance de l'information numérique : les chiffres et les tendances du rapport 2022
- Méthodologie pour conduire son projet de gouvernance de l’information numérique
- Une gouvernance de l’information saine doit passer par la valeur ajoutée humaine
- RTE : la gouvernance de l'information par et pour les métiers
- La gouvernance de l’information vue par les éditeurs de solutions
Conduire un programme de gouvernance de l’information, c’est conduire un projet qui comporte plusieurs facettes, de nombreuses phases possibles qui vont s’enchaîner ou se paralléliser, et qui nécessite des actions préalables fortes pour permettre le lancement dans les conditions les plus optimales.
Quelques exemples au préalable de projet de gouvernance de l’information :
- Les productions et instructions de documents internes ou externes en lien avec les activités métier ou support, nécessitant la mise en place de modes de travail collaboratifs pour :
1. Gagner du temps ;
2. Faciliter et tracer les évolutions de coédition de documents ;
3. Accélérer les circuits de validation voire de signature ;
- La gestion des échanges et le traitement de courriers en réponse aux sollicitations externes, notamment les courriers (courriels, dépôts sur plateformes et papiers).
>Lire aussi : Gouvernance de l'information : plongez dans le système !
Les volets d'un projet de gouvernance de l'information
Un projet de gouvernance de l’information s’articule autour de quatre volets majeurs à piloter en parallèle pour mener à bien la réalisation :
- Les processus métier à réviser et l’impact sur les équipes, leurs compétences, leurs organisations, les ressources documentaires et les gisements de données concernées ;
- Les technologies : architectures techniques et fonctionnelles dont sécurité et signature… ;
- Les budgets (“build” et “run”) ;
- Les cadres réglementaires dans lesquels s’inscrire (normes et réglementations dont RGPD notamment). (voir graphique 1)
