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Sciences Po, 150 ans d'archives à explorer

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    Documents du fonds Pierre de Coubertin. (Caroline Maufroid/Sciences Po)
  • La Fondation nationale des sciences politiques s’est récemment dotée, au sein de sa Direction des ressources et de l’information scientifique, d’un Département Archives qui rassemble un patrimoine documentaire unique. Archives politiques, documents internes et dossiers de recherche représentent plus de 4 kilomètres linéaires. Visite au milieu des compactus® de la rue Saint-Guillaume.

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    En 1872, l’École libre de sciences politiques voyait le jour à l’initiative d’Émile Boutmy. Au lendemain de la défaite de 1870, le politologue souhaitait doter la France d’un institut capable de former les futures élites d’une nation éreintée et épuisée. 150 ans plus tard, Sciences Po célèbre son anniversaire en grande pompe et revisite son histoire grâce à un patrimoine documentaire unique.

    Naguère dispersées sur plusieurs sites parisiens, ces archives ont été en grande partie rassemblées au 28, rue Saint-Guillaume à la faveur de la création récente du Département Archives qui compte neuf personnes. « La création de ce nouveau service permet de donner de la visibilité et de faciliter l’accès à nos archives », explique Odile Gaultier-Voituriez, Responsable du Département Archives.

    Dans les sous-sols du bâtiment, plusieurs compactus® installés par la société Bruynzeel hébergent la mémoire de l’institution. À commencer par « les archives du politique » qui sont probablement celles qui éveillent le plus de curiosité.Lire aussi : Eleonora Moiraghi : de La Scala à Sciences Po en passant par....
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    Avec l’automatisation, les applications de gestion électronique des documents (Ged) peuvent franchir un pas de plus en faveur des organisations dématérialisées. Les enjeux sont multiples : gain d’efficacité, bien sûr, mais aussi meilleures fiabilité et traçabilité. Pour automatiser davantage, il faudra identifier les flux, chasser les tâches sans valeur ajoutée, modéliser, tester, mettre en oeuvre…
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    L’information étant au cœur des activités, la conformité à la réglementation et à la législation est impérative. Le respect de normes – archivage électronique, records management, coffre-fort numérique – est un réel facteur de sécurité. Il faut définir une politique d’archivage, préserver la valeur probante des informations

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    Saison 2, Ép. 7 - Diplômé de l'École nationale des chartes et de l'Institut national du Patrimoine, Bruno Ricard est conservateur général du patrimoine. Il est également directeur des Archives nationales depuis 2019. Au micro de Bruno Texier, il revient, pour les podcasts d'Archimag, sur les grands projets des Archives nationales. Mais avec le développement exponentiel de l'intelligence artificielle, une première question se dessine : les archivistes doivent-ils craindre pour leur métier face à la puissance de l'IA ?
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