Pourquoi les entreprises font-elles appel à vous ?
Il s’agit généralement de PME n’ayant pas de personne dédiée à la veille et qui ont pourtant besoin d’information économique. Elles souhaitent suivre l’actualité d’un marché, mais aussi surveiller leur image ou la présence de leurs concurrents dans les médias. A travers la découverte d’outils en ligne, nous changeons leur rapport à la recherche d’information, afin qu’elles la réalisent elles-mêmes et de façon automatisée.

Quels sont ces outils ?
Apprendre à bien connaître Google et...

Sommaire du dossier :

• Y a-t-il un pilote dans les données ?
• L'urbanisation du SI comme outil de coopération
• Principes pour urbaniser vos services Ged
• L'urbanisation quartier par quartier

C’est l’un des fléaux les plus fréquemment observés dans les...

Un système informatique (SI) est un assemblage de composants matériels et logiciels permettant le traitement, l’échange et le stockage de l’information. Cet assemblage est souvent représenté par les informaticiens à l’aide d’un modèle en couches ou en pelures d’oignon. Par exemple, dans un PC, la couche basse correspond au matériel et la couche haute aux logiciels ou applications. Le système d’exploitation ou OS est une couche intermédiaire. Dès lors que des ordinateurs échangent des informations entre eux, via des réseaux de télécommunication d’entreprise ou via internet, l’ensemble constitue un système informatique qui se modélise également par une...

Dans les entreprises, les applications métier sont nombreuses, pouvant dépasser le chiffre de la cinquantaine pour quelques centaines de salariés. Difficile d’en avoir une vue d’ensemble. La maintenance à moyen terme devient bien vite un casse-tête pour la direction du système d’information (DSI). Au bout de quelque temps, le code source s’avère introuvable – quand on l’a eu –, il devient impossible de personnaliser l’application, et plus question de dépenser un euro en développement supplémentaire…

Somme toute, ce terrain est favorable à une technologie comme LearnMode, de l’éditeur Perceptive Software. Partie d’ImageNow, « référentiel » de...

C’est un peu l’histoire du verre à demi-plein ou à demi-vide. Le numérique contribue-t-il au développement durable ou, au contraire, génère-t-il un surplus de consommation d’électricité ? La question donne toujours lieu à de savantes batailles de chiffres.

Selon certains observateurs, les technologies de l’information et de la communication (TIC) seraient à l’origine de 2 à 3 % des émissions de dioxyde de carbone (CO2) dans le monde. On pourrait se réjouir d’un taux aussi bas, vu le nombre de secteurs professionnels qui utilisent l’informatique dans le cadre de leur activité. Mais 2 à 3 %, c’est aussi l’équivalent des émissions produites par le...

Scoop.it est un service de curation en ligne qui permet le partage de contenus web sur un thème (topic) donné et la présentation de ces contenus sous une forme ergonomique, à la façon d’un journal en ligne. Le fonctionnement de Scoop-it suit un processus en trois étapes :
1- la recherche et la sélection de sources ;
2- le choix des informations à partager ;
3- la diffusion d’information.
Le parallèle est évident avec le panorama de presse traditionnel. A vrai dire, réaliser un panorama de presse en ligne n’a jamais été aussi simple.

1- dessine-moi une signature électronique « juridique »

1- qu’est-ce qu’une signature en droit ?

Paraphe, autographe, signature manuscrite, signature électronique, est-ce la même chose ? On retrouve généralement la signature dans deux domaines : l’art et le droit. Dans le domaine de l’art, la signature est le sceau de l’origine d’une œuvre, la garantie de son authenticité, et sert le plus souvent à définir son prix.

En droit, la fonction de la signature est similaire. C’est l’article 1316-4 alinéa 1 qui en donne la définition : « La signature nécessaire à la...

Avoir une approche purement informatique de l’urbanisation du système d’information (SI) est depuis longtemps dépassé.

Selon certaines projections, le marché français du livre numérique devrait représenter 2 % du chiffre d’affaires de l’édition à l’horizon 2015. Soit l’équivalent de 55 millions d’euros contre 12 millions d’euros en 2011. Un marché encore marginal donc mais qui ne cesse de croître.