L’Institut national de l’Audiovisuel et Pluto TV lancent aujourd'hui une nouvelle chaîne gratuite dédiée à la rediffusion d’émissions cultes des années 1970.
A partir d'aujourd'hui, les rédactions du groupe France Télévisions lèvent le voile sur les ressources documentaires utilisées par les journalistes du service public. A l'exception des sources confidentielles...
La nouvelle émission de Laurent Delahousse puise dans les archives audiovisuelles pour diffuser "des séquences qui n'avaient pas vocation à être rendues publiques".
Les réalisateurs Isabelle Clarke et Daniel Costelle proposent le mardi 3 novembre sur France 2 une nouvelle série documentaire réalisée à partir d'images d'archives inédites, restaurées et colorisées : Apocalypse Staline, sur la vie du dictateur de l'URSS.
L'Ina lance ce mercredi 30 septembre Ina Premium, son service de vidéo à la demande (SVOD) disponible sur abonnement. Moyennant 2,99 euros par mois, celui-ci offre un accès à l'intégralité de plus de 20 000 archives de la télévision et de la radio.
Le tribunal de grande instance de Paris a condamné un site américain à verser 100 000 euros à l'INA pour avoir diffusé 854 séquences musicales sans autorisation.
Arte vient rejoindre la longue liste des partenaires publics culturels et scientifiques du portail Éduthèque en proposant une cinquantaine de ses programmes en accès gratuit pour les enseignants.
Les archives réclament elles aussi leur place au sein du paysage audiovisuel redessiné par l'arrivée de Netflix en France. En effet, l'Ina proposera dès mars 2015 un abonnement de vidéo illimité, comparable à celui du prestataire américain.
Saison 2, Ép. 7 - Diplômé de l'École nationale des chartes et de l'Institut national du Patrimoine, Bruno Ricard est conservateur général du patrimoine. Il est également directeur des Archives nationales depuis 2019. Au micro de Bruno Texier, il revient, pour les podcasts d'Archimag, sur les grands projets des Archives nationales. Mais avec le développement exponentiel de l'intelligence artificielle, une première question se dessine : les archivistes doivent-ils craindre pour leur métier face à la puissance de l'IA ?