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Automatisation du courrier : "les entreprises françaises fonctionnent à deux vitesses"

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    Cyril Condamines, directeur commercial France chez Kodak Alaris. (Kodak Alaris France)
  • Pour Cyril Condamines, Directeur commercial France chez Kodak Alaris, l'automatisation de la fonction courrier bénéficie de très nombreux avantages. Comment les entreprises se positionnent-elles sur le sujet ? Quelles sont les solutions sur ce marché ? Réponses.

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    Au sommaire


    Quels sont les apports de l’automatisation dans la fonction courrier ?

    Ces apports sont très nombreux et de tous ordres : simplification du traitement du courrier, réduction du délai de transmission des courriers dans les différents services, gain d’argent, disparition du courrier interne, plus besoin de stockage physique et un temps de traitement réduit.

    Ajoutons l’accélération des délais de réponse, ce qui signifie la fin des pénalités de retard et un traitement plus rapide des demandes clients.

    L’automatisation apporte également de la sécurisation : elle suit un process précis et quand elle est associée à une solution de sauvegarde sécurisée, le risque de courrier perdu ou mal adressé est réduit drastiquement.Lire aussi : Gestion de courrier : réalisez votre propre diagnostic !Elle génère du con....
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    Avec l’automatisation, les applications de gestion électronique des documents (Ged) peuvent franchir un pas de plus en faveur des organisations dématérialisées. Les enjeux sont multiples : gain d’efficacité, bien sûr, mais aussi meilleures fiabilité et traçabilité. Pour automatiser davantage, il faudra identifier les flux, chasser les tâches sans valeur ajoutée, modéliser, tester, mettre en oeuvre…
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    Saison 2, Ép. 7 - Diplômé de l'École nationale des chartes et de l'Institut national du Patrimoine, Bruno Ricard est conservateur général du patrimoine. Il est également directeur des Archives nationales depuis 2019. Au micro de Bruno Texier, il revient, pour les podcasts d'Archimag, sur les grands projets des Archives nationales. Mais avec le développement exponentiel de l'intelligence artificielle, une première question se dessine : les archivistes doivent-ils craindre pour leur métier face à la puissance de l'IA ?
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