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Au sommaire
- Dossier : Ged automatisée, quelle valeur ajoutée ?
- Comment automatiser la gestion documentaire
- Ged : automatiser pour performer
- La Ged au cœur des enjeux RH
- Automatisation du courrier : « les entreprises françaises fonctionnent à deux vitesses »
- Comptabilité et ged : faciliter la facture
3 organisations sur 4 ont sauté le pas de l’automatisation des processus. Et c’est avec pour objectifs de réduire les délais de traitement (78 %), de limiter les erreurs humaines (54 %), d’accroître la productivité (51 %) et de disposer de données de meilleure qualité (48 %) qu’elles se tournent vers des éditeurs de solution pour concrétiser leur projet. Dans 65 % des cas, c’est sur une Ged, un ECM ou des workflows que l’automatisation s’appuie .
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"Le nerf de la guerre, c’est la performance", confirme Frédéric Massy, directeur marketing d’Itesoft, qui édite des solutions de digitalisation et d’automatisation des processus ; "et les différentes crises successives n’ont fait que renforcer ce besoin. Cette quête de performance est une des raisons clés pour laquelle les organisations font appel à nous".
Pour Kentika, dont la Ged se positionne sur le marché des documents d’entreprises, les demandes des clients se situent également au niveau de la productivité et de la qualité : "Tout “capteur d’information” qui élimine des interventions manuelles contribue à la réussite d’un projet, explique Gilles Batteux, président de Kentika.
"Ensuite, la qualité et l’homogénéité des documents traités dans un processus de Ged automatisée sont des atouts pour le présent et pour l’avenir en constituant au fil de l’eau la mémoire de l’entreprise, voire en s’intégrant dans une démarche de records management".
