A Lyon, Anne-Marie Reynaud, responsable du centre de documentation de l’Institut régional d'administration, a pris son nouveau poste en présentiel avant de passer au télétravail. A la clé, moins de stress et une productivité accrue, mais également une perte de contact avec les élèves ou encore des difficultés pour animer un centre de documentation.
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Sommaire du dossier sur le télétravail des veilleurs et des documentalistes :
- Les veilleurs et les documentalistes face au télétravail
- Veille et documentation : "le télétravail peut vite devenir un grand bazar documentaire"
- Intelligence économique : "on est loin de mesurer les effets pervers de certaines « innovations » liées au télétravail"
- Isabelle Brasseur, manager documentaliste chez Deloitte : une vision avancée du télétravail
- Anne-Marie Reynaud, de l'IRA de Lyon : le télétravail complique l’animation d’un centre de documentation
- Pauline Antoine, veilleuse et manager chez Cision : la liberté de télétravailler
C’est une situation délicate qui s’est posée à tous les salariés qui ont été embauchés au cours des deux dernières années : comment prendre un nouveau poste alors que le télétravail est devenu la norme et qu’une bonne partie des autres collaborateurs travaille à distance ?
> Lire aussi : Télétravail et communication informelle : le défi des veilleurs et des documentalistes
Il est impossible de comprendre ce poste à distance
Pour Anne-Marie Reynaud, documentaliste au sein de l’Institut régional d'administration (IRA) de Lyon qui forme les attachés administratifs de l’État, l’intégration s’est d’abord faite en présentiel :
