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Sommaire du dossier sur le télétravail des veilleurs et des documentalistes :
- Les veilleurs et les documentalistes face au télétravail
- Veille et documentation : "le télétravail peut vite devenir un grand bazar documentaire"
- Intelligence économique : "on est loin de mesurer les effets pervers de certaines « innovations » liées au télétravail"
- Isabelle Brasseur, manager documentaliste chez Deloitte : une vision avancée du télétravail
- Anne-Marie Reynaud, de l'IRA de Lyon : le télétravail complique l’animation d’un centre de documentation
- Pauline Antoine, veilleuse et manager chez Cision : la liberté de télétravailler
Depuis plus de cinq ans, chez Cision (prestations d’études médias et marché), ce n’est pas à l’employé de justifier sa demande d’une journée de télétravail, mais plutôt au manager d’expliquer son éventuel refus auprès des RH. Le rapport de force est inversé.
Avant la pandémie, pour Pauline Antoine, veilleuse et manager du service market intelligence, et pour son équipe, les modes de travail étaient assez variés. Les plus expérimentés pouvaient bénéficier de deux à trois jours de télétravail par semaine, tandis que les plus novices à leur poste se contentaient du présentiel comme norme.
"Pour ma part, j’étais en télétravail une fois par semaine quand je n’avais pas trop de réunions. C’était surtout le cas quand je n’étais pas manager", déclare-t-elle.
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Adapter son emploi du temps comme on le souhaite
