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Quinze ans après sa création, quel bilan tirez-vous de l’activité de Cap Digital ?
Cap Digital faisait en effet partie des 70 pôles de compétitivité lancés en 2005 et s’est développé en même temps que le numérique s’est développé en France. Nous sommes désormais le plus important pôle de compétitivité français et l’un des plus grands clusters technologiques européens avec environ un millier d’adhérents dont 85 start-up, 70 universités et laboratoires de recherche publique et 70 grands comptes. Notre budget est d’environ 6 millions d’euros pour une quarantaine de salariés.
Notre bilan, c’est 1,7 milliard d’euros de financements publics en faveur de nos entreprises, un chiffre que l’on peut multiplier par deux si l’on ajoute les porteurs de projets. Soit, 870 projets financés sur environ 1 700 projets qui ont été expertisés par nos experts. Le tout premier projet était Infomagic qui a bénéficié d’une subvention de 40 millions d’euros avec plusieurs dizaines de sociétés impliquées dans le domaine du traitement de l’image et l’analyse de texte.
J’ajoute que Cap Digital est également un état d’esprit : on s’est aperçu que beaucoup d’entités différentes (start-up, grands groupes et laboratoires de recherche) pouvaient travailler ensemble pour inventer et produire des services de grande qualité.
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Dans le cadre du 4e Programme d’investissement d’avenir (PIA 4), le gouvernement a annoncé le lancement de plusieurs dispositifs destinés à accélérer les transitions numériques et écologiques des industries culturelles et créatives. Quels sont les secteurs qui vont en bénéficier ?
