La bibliométrie : cette implacable machine à faire et défaire les réputations doit-elle se remettre en question ? Abonnés

Il est généralement admis que la notion de bibliométrie est apparue pour la première fois en 1969 sous la plume du chercheur Alan Pritchard qui la définissait comme « l’application des mathématiques et des méthodes statistiques aux livres, articles et autres moyens de communication » (1).

Plus concrètement, la bibliométrie permet d’évaluer l’activité et l’influence d’un chercheur, d’un laboratoire ou d’une institution à travers leurs publications.

Mais dès 1934, le belge Paul Otlet, véritable Géo Trouvetou de l’ingénierie documentaire, en esquissait déjà les contours

Tendance : Faut-il rematérialiser les documents que l’on a dématérialisés ? Abonnés

Qui aurait pu croire qu’à l’heure de la numérisation triomphante, le verbe « rematérialiser » ferait son apparition en 2013 ?A rebours des discours sur le « zéro papier », le concept de rematérialisation semble s’installer dans le champ lexical des professionnels de la documentation.

Une bonne raison à cela : nous ne sommes pas encore entrés dans un monde post-papier. Loin de là…

Selon une étude menée par plusieurs organisations non gouvernementales (le Fonds mondial pour la nature ou WWF, Riposte Verte…), un employé français consomme en moyenne 80 kilogrammes de papier par an ! Et comme l’ont constaté de nombreux...

Intelligence économique : Comment réussir son projet de veille ? Abonnés

Prises de décision, anticipation, innovation, management… Tels sont les bénéfices d’une activité de veille.

Au-delà de ces enjeux, s’inscrire dans une telle démarche vise à reconnaître l’importance de l’information et de ceux qui la possèdent, ainsi qu’à faire passer le message aux collaborateurs que tout élément d’information a sa place dans la compréhension de l’environnement de l’entreprise.

S’il est tout à fait possible de mener un projet de veille à partir d’outils gratuits, une telle démarche peut, à terme, s’avérer plus coûteuse qu’une plateforme de veille payante si l’on...

Visualisation de l'information : pour sortir du lot, l'info doit s'habiller sexy

Impossible de lire toutes les informations, alors autant les… voir ! Voilà ce que la visualisation de l’information propose. Mais elle ne se résume pas qu’à cela. Si elle permet effectivement une retranscription d’informations ou de données (data) sous forme de schémas, de cartes, d’infographies, etc., elle est en elle-même une information en apportant son propre niveau d’interprétation. Elle peut satisfaire de nombreux besoins notamment en veille, sur le web et dans la presse. Autres qualités, son interface est souvent ouverte à l’interactivité, voire à la personnalisation, et se prête beaucoup au buzz. Bref, la visualisation est un outil de valorisation de l’information à prendre en main.

Mener un projet de cloud computing : problématiques et enjeux

Pour la majorité des décideurs, l’intérêt d’une migration des applications et de l’infrastructure d’une organisation vers le cloud n’est plus à démontrer, le nuage ayant largement fait ses preuves en matière de pluie de nouvelles opportunités et d’éclairs potentiels de perspectiv

Pages

Les podcasts d'Archimag
La photographie possède un pouvoir fascinant : celui de capturer un instant et de le figer pour l’éternité. Elle raconte des histoires, qu’elles soient personnelles ou collectives, qui traversent le temps et façonnent notre passé, notre présent et notre futur. C’est pourquoi les albums de famille jouent un rôle si important dans la construction de nos souvenirs. Mais avec l’avènement de l’intelligence artificielle générative, capable de créer des images de plus en plus proches de la réalité, une question se pose : comment cette technologie va-t-elle influencer notre mythologie familiale ? Serge Tisseron, psychiatre et docteur en psychologie, explore depuis longtemps nos relations avec les technologies. En cherchant à recréer une photographie de son enfance, il s’est intéressé aux liens entre mémoire, photographie et intelligence artificielle. Il revient sur l’origine de son livre "Le jour où j’ai tué mon frère - Quand l’IA fabrique la photographie de nos souvenirs", publié aux Éditions Lamaindonne.